c’est en Belgique. Une discussion vise manifestement à élargir les heures d’ouverture des centres de conrtôle technique qui ferment tôt outre-quievrain. Mais sur fond de polémique, le secrétaire d’Etat à la Mobilité Etienne Schouppe a fait accepter au secteur la désignation d’un médiateur qui sera chargé de traiter toutes les plaintes relatives au contrôle technique ou aux examens pratiques du permis de conduire pour pallier la « Position d’infériorité et de dépendance » ressentie par les consommateurs. <<"Il faudra donc être attentif à ce que le seuil d'accès au médiateur soit bas, de manière à ce que le client ne soit pas contraint de s'adresser d'abord au centre de contrôle technique ou centre d'examen avant de se tourner vers le médiateur", a indiqué M. Schouppe. (belga/th) >> Voir article sur 7S/7.be La question qui se pose est de se demander si finalement la nomination d’un médiateur est bien opportune car il s’agit ni plus ni moins que d’un recours administratif encore amiable et comme tel pourrait être aussi soumis à l’ombudsman compétent en l’espèce fédéral. Il est à craindre que cette sectorisation tende à multiplier les recours admnistratifs pour rassurer mais peut aussi ajouter à la confusion déjà existante en matière de médiation.